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    Amour poétique

    Le magicien des mots,

     

     

    Si j’étais un poète,

    J’écrirais des rimes pour enjoliver l'abime.

    Si j'étais un magicien des mots,
    J'en sortirais un seul de mon chapeau,
    Amour! C’est vraiment le plus beau!

     

     

    Au poète inconnu

     

     

     

    Je me fous de ce que les gens en pensent,

    Mes écrits sont la trace de mon existence,

    Mes mots traduisent juste ce qu’elle vaut,

    Tant pis, si personne ne les trouve beaux.

     

    Exutoire contre l’indifférence ou jouissance

    Des rimes éternelles semblable à un linceul,

    Drapant le souvenir futur de mon absence.

     

    Mes yeux, illuminés pour déshabiller l’enfer

    Transpercent le miroir obscur de ma nature,

    De ces éclats de ma vie, brisée sur cette terre,

    La mort me promet d’autres folles aventures.

     

     

    Je ne suis ni Goethe, ni Rimbaud, ni Lamartine,

    Même si l’ombre de leur génie plane sur ma vie,

    Je vis au rythme de mes vers et de mon spleen,

    Illustre inconnu, dont l’amour fut la seule envie.

     

    L'inspiratrice de ma poesie

     

     

    Vous êtes mon inspiratrice et le joyeux reflet de mes espérances,

    Plus j'embrasse la mer de votre regard, mieux, je me noie en vous

    Aussi belle qu'intelligente, de votre présence, m'offrez l'évidence

    Que tous mes écrits ne se révélent qu'auprès de vos yeux si doux.

     

    Les êtres n’ont pour passion que les traits de désir qui la soulignent

    Croire au silence, rendre son baiser aux lèvres offertes de l’amour,

    N’embrasser que votre seul regard, j’avance dans votre lumière

    Et, votre rayon divin sur mes sombres pensées, illumine ma  poésie.

     

     

     

     

     


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    Bienvenue sur mes poésies

    L’asile de mes pensées

    La feuille de papier, l’asile de mes pensées, aliénées, au refrain nostalgique d’une solitude,
    Un manque glacé sur la course insensée de chercher à capter l’inhabité.

    je les vois ricaner,
    Les signes ésotériques, les fantômes noirs, ombres évasives formatant un complot littéraire.         

    Ni juges, ni arbitres, pour juger du bon mot, ici, employé au tracé d’une ligne imaginaire,
    Déguster la fantaisie, friandise qu’avale le poète en ricanant de sa propre promptitude,
    A faire se rencontrer des mots, étrangers aux images, qui, à l’origine, leurs étaient affiliées.

    Les signes s’éclaircissent sur des sourcils obscurs, aux yeux de ma sempiternelle romance
    La mort s’approprie la mémoire, elle parle à reculons de tous ces prétentieux scribouillages,
    Qu’importent les formes empruntées, si elles font plaisir à leur auteur,

    ultime boîte à cirage.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Requiem d’un émoi.


    Vieux cerveau livré à l’abandon des songes,
    Un cruel automne pour des feuilles flétries,
    Arbre penché sous le poids d’un mensonge,
    La vie a trahi ma jeunesse, je suis meurtri.

    Mes folles espérances se sont battues en duel,
    J’ai perdu la bataille sur les fronts de l’envie,
    Désarticulé, j’ai dérivé sur des rives irréelles,
    Seule, l’écriture a répondu à l’écho de mon cri.

    Ne connaissant pas d’autre remède à l’existence,
    Constat glacé sur le papier d’une intemporalité,
    Mes mots furent le seul refuge de ma résistance,
    Tout ce que j’avais à commettre me fut dicté.

    Je n’avais pas demandé à devenir un poète,
    Éclairé par la musicalité pourpre de la rime,
    Requiem d’un émoi le temps d’une tempête,
    J’écris pour ne pas sombrer dans la déprime.

     

    La source de mes maux



    Là, où le doute devance nos incertitudes,
    L’hésitation ralentit notre geste créatif,
    Mais nous avançons dans la plénitude,
    Le sublime porte sa louange au delà du récif.

    Je dois affronter le silence dans une clairière de non dits,
    Plonger dans l’imperceptible et habiller la transparence,
    Du cheminement de l’image à la lettre, naitra mon écrit,
    Dans un espace d’amour, l’envol de ma correspondance.

    Je reviens donc vers vous, ange qui me tient la main,
    Et, soulève l’épaisseur du mystère dans ma poitrine,
    Vous enchantez mes phrases de votre éternel refrain,
    Et, redorez ma plume si celle-ci s’abandonne au spleen.

    Là, où l’on peut vous prononcer, je vous aime, éternelle beauté,
    La poursuite du bonheur impossible dans vos courbes gracieuses,
    Onde de mes désirs, porteuse de ma semence, spirituelle clarté,
    Dieu que c’est bon d’être possédé par votre nature généreuse.

    Votre musique jaillit de mon esprit provoquant un émoi,
    Elle orchestre une vision souterraine de mon entr’aperçu,
    Et, vous me composez, mot à mot, dans la douleur et la joie,
    Un poème, qui tient entre ses lignes, toute ma vie, suspendue.

    Mais pourquoi, m’avez-vous choisi, insatiable poésie ?
    Certes, j’ai l’âme d’un enfant et j’aime la magie du mot,
    Mais mon parcours émotif n’intéresse personne, ici,
    Et, votre vibration divine n’a pour source que mes maux.

     


    fatale2.JPG

     

    Sur le sommet d’une colline, se dresse un cimetière,
    L’on entend, le soir, sous la lune pale, une musique,
    Venue de je ne sais quel orchestre, sortie de quel enfer,
    Son rythme est une douce valse pour une âme mystique.

    Déchirement de l’ombre, une silhouette danse,
    Au-dessus des sépulcres, elle se laisse bercer,
    Des notes de douleur cadencent sa triste errance,
    Il la sent toute proche mais ses lèvres, glacées.

    Ah, s'il pouvait basculer le ciel et ramener sa belle sur terre!
    Il pianoterait de joie et ensorcèlerait d'un solfège magique,
    La brise heureuse où le soleil s’offrait sans honte à l’univers,
    De toute cette lumière, sa vie vibrait d’arpèges magnifiques.

    Si le cruel destin lui a offert une toute autre partition,
    Quel vent a emporté son amour dans un pourpre naufrage?
    Funeste récital orchestrant une valse d’adieu à son image.
    Le chant de son idolâtrie s'illumine de sa belle apparition

    calatexte.jpg
     
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    19/07/06

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    Luxure

     

     

     

    Luxure

    D'hallucinantes visions envahissent ma tête absente,
    Ces images hardies de luxure, de femmes galantes,
    S'inclinant, indociles, au plaisir de mon épouvante,
    La chair rose est l'aurore de leur emprise triomphante.

    Je suis la proie, offerte à tous les plaisirs clandestins,
    Les lèvres du ciel me murmurent des nuages libertins,
    Zébrée d'éclairs, échappés de mes émotions captives,
    La peau nue d'une femme exaltant toutes mes dérives.

    Désirs éparpillés, émiettement avoué de ma virilité,
    Un vieux démon attise les feux de mes sens affolés,
    L'extase de ce sabbat interdit de volupté enchantée,
    Est l'ultime abri de mes charnelles chimères rêvées.

    Promesses évanescentes aux caresses du corps désiré,
    La passion sans amour est fille d'une stérile sexualité,
    Harmonie convoitée, au refuge de mes songes secrets,
    Vivre tous mes fantasmes, seulement, avec mon adorée.

    Luxure, au corps chaud et cœur triste d'une fille de joie,
    Sublime amante, infidèle et rebelle, bien nombre de fois,
    Mais dans ton royaume, jouit le plus bel héritage de toi,
    C'est l'amour unique, partagé, d'une reine pour son roi.

     

     

     
     
     
     
     
     
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      Le poète inconnu porte un nom et vous offre ses meilleures poésies       Bienvenue sur ses poèmes! Vive la poésie libre!

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